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On va destituer Macron (Mathilde Panot)

Destitution de Macron : Un événement inédit dans la 5ème République

Paris, 17 septembre 2024 – Un tournant historique s'est produit aujourd'hui à l'Assemblée nationale, alors que le bureau a décidé à sa majorité de voter pour la recevabilité d'une proposition de résolution visant à engager la destitution du président de la République. Cet événement, sans précédent depuis l'instauration de la 5ème République, révèle une fracture profonde au sein du pouvoir exécutif et une volonté affirmée de rétablir une véritable démocratie.

Les débats prolongés au sein du bureau ont rappelé à de nombreux membres de la majorité présidentielle l'importance d'une démocratie vivante, où le respect des votes et des majorités est fondamental. Dans une allocution passionnée, un porte-parole a souligné que le président n'est plus perçu comme le garant du bon fonctionnement des institutions républicaines, appelant à un examen public de la destitution devant le peuple français.

Cet appel à une plus grande transparence et responsabilité s'inscrit dans un contexte où la colère gronde face à des décisions gouvernementales controversées, telles que la réforme des retraites adoptée sans vote, mettant en lumière ce que certains qualifient de dérive autoritaire. Les membres du bureau ont partagé leur inquiétude quant à l'avenir de la démocratie en France et ont affirmé leur intention de ne pas être une simple "chambre d'enregistrement".

Une action mobilisatrice

Le 21 septembre prochain, une marche est prévue à l'appel d'organisations de jeunesse et d'associations, remontant à la date symbolique du 21 septembre 1792, lorsque la royauté a été abolie en France. Ces manifestations citoyens visent à rappeler l'importance de la souveraineté populaire face à un exécutif jugé de plus en plus éloigné des attentes des Français.

Actuellement, une pétition en ligne pour soutenir la procédure de destitution a déjà recueilli plus de 300 000 signatures, légitimant ainsi cette démarche auprès du citoyen français. Les initiateurs de la résolution demandent que le débat sur la destitution soit inscrit à l'ordre du jour de la commission des lois, un processus qui pourrait redéfinir le paysage politique français.

Redevabilité et transparence

Parallèlement à la question de la destitution, des accusations de parjure ont été formulées à l'encontre d'Aurore Berger, un membre influent de la majorité. Une enquête menée a révélé des contradictions dans ses déclarations, ce qui a incité certains députés à exiger des poursuites. Cette situation a attisé les tensions au sein de l'assemblée, certains dénonçant un manque de transparence et d’équité dans la gestion des affaires parlementaires.

Les critiques se concentrent également sur la présidente de l'assemblée, qui est accusée de concentrer trop de pouvoir et de limiter le débat démocratique. Des voix s'élèvent pour réclamer un retour à des méthodes de gouvernance plus inclusives, afin de garantir que chaque député puisse jouer son rôle dans le processus législatif.

Une lutte en cours

Alors que cette première victoire en faveur de la destitution du président a été célébrée, de nombreux défis restent à surmonter. Les membres de la coalition de l’opposition, comprenant le Nouveau Front Populaire, les socialistes et les communistes, se préparent à des discussions acharnées pour inscrire la résolution à l’ordre du jour des prochaines sessions. Chaque étape de ce processus sera scrutée par des Français avides de savoir qui défend véritablement leurs intérêts.

En somme, cet épisode marque une étape décisive dans la reconfiguration du pouvoir en France, où les institutions sont appelées à retrouver leur dignité et leur fonction au service du peuple. Le bras de fer entre le pouvoir exécutif et le parlement pourrait redessiner les contours de la démocratie française, alors que le pays s'engage dans une période d'intenses mobilisations citoyennes.

Le mardi, 17 septembre 2024

Election aux USA : Trump dit qu'il est en colère

Election aux EU : L’opinion commente la colère de Donald Trump lors du débat avec Kamala Harris

Dans un contexte politique américain de plus en plus tendu, un récent débat télévisé sur Fox News met en lumière les préoccupations croissantes des citoyens face à des enjeux cruciaux tels que l'immigration, la sécurité et l'économie. Se faisant l’écho de Trump, les intervenants expriment une colère palpable, reflétant le sentiment général d'insatisfaction qui règne parmi la population.

Le dimanche, 15 septembre 2024

Graça Sambini : Première dame de deux pays différents

Graça Sambini Machel : Première dame de deux pays différents

Graça Machel est une femme dont la vie et l’engagement transcendent les frontières et touchent les cœurs. Née le 17 octobre 1945 à Gaza, au Mozambique, elle incarne la force, la résilience et l'espoir pour un continent en quête de justice et de développement.

Le dimanche, 15 septembre 2024

Dans ArC/People
USA. Une légende du rock sauve une femme du suicide

Un acte de bravoure : Légende du rock, Jon Bon Jovi sauve une femme au bord du suicide

Le samedi, 14 septembre 2024

Etats-Unis, 10 septembre 2024. - La légende du rock, Jon Bon Jovi, a été salué pour son intervention héroïque à Nashville, Tennessee. Alors qu'il tournait un clip vidéo près du pont piétonnier John Seigenthaler, le chanteur a aperçu une femme en détresse, prête à sauter dans la rivière Cumberland. Sans hésiter, Bon Jovi, âgé de 62 ans, s'est approché de la femme et lui a parlé, la convainquant de ne pas attenter à sa vie. Une fois la femme en sécurité, Bon Jovi l'a serrée dans ses bras avant de quitter le pont piétonnier John Seigenthaler.

Ces moments héroïques ont été enregistrés par les caméras de surveillance du pont, montrant le leader du groupe de rock éponyme, âgé de 62 ans, empêchant une jeune femme de sauter dans la rivière Cumberland. Cet acte de sauvetage a rapidement fait le tour des réseaux sociaux.

La police de Nashville a diffusé des images de l'incident, louant le sang-froid et le courage du chanteur. Cet événement met en lumière l'importance de l'attention portée à autrui et de la solidarité pour prévenir les drames.

 

Dans Justice
RDC. Coup d'Etat manqué : condamnation massive

Procès de la tentative de coup d'État en RDC : 37 prévenus, dont Jean-Jacques Wondo, condamnés à mort

Le vendredi, 13 septembre 2024

Un tribunal militaire en République démocratique du Congo (RDC) a condamné à mort 37 personnes impliquées dans une tentative de coup d'État en mai 2023. Ce verdict fait suite à un procès qui a duré plusieurs mois et qui a impliqué un total de 51 prévenus.Parmi les condamnés figurent des militaires, des policiers et des civils. Ils ont été reconnus coupables d'avoir participé à la tentative de renversement du gouvernement de Félix Tshisekedi en mai 2023. Les faits se sont déroulés dans la province du Kongo central, frontalière de l'Angola.Le procès s'est tenu devant un tribunal militaire siégeant à Matadi, chef-lieu de la province du Kongo central. Les 14 autres prévenus ont été acquittés faute de preuves suffisantes.

L'audience a commencé en début d'après-midi sous une tente installée dans une cour de la prison militaire de Ndolo à Kinshasa, a constaté sur place un journaliste de l'AFP. Le procès se tient depuis début juin dans l'enceinte de cet établissement de la capitale congolaise où les accusés sont incarcérés, et gardé par des soldats armés. Les 51 prévenus y ont été amenés en fin de matinée. Vêtus de la tenue jaune et bleue des détenus, ils se sont assis sur des chaises disposées en rangs derrière des barricades métalliques. Le regard vide, la plupart d'entre eux ont gardé une mine fermée.

Trois Américains et l'expert militaire belgo-congolais, Jean-Jacques Wondo, compte parmi les accusés. Peu avant le début de l'audience, ce dernier a dit à l'AFP espérer encore l'acquittement, avouant sans s'étendre traverser "une épreuve difficile". Les chefs d'accusation retenus dans ce dossier sont "attentat, terrorisme, détention illégale d'armes et munitions de guerre, tentative d'assassinat, association de malfaiteurs, meurtre, financement du terrorisme".

Seul un prévenu, atteint de "troubles psychologiques", n'a pas vu la peine de mort requise contre lui. Le procès n'a finalement apporté que peu de lumière sur les motivations derrière l'opération du 19 mai et ses éventuels commanditaires. Tous les prévenus ont plaidé non coupables et leurs avocats ont réclamé l'acquittement.

Le gouvernement congolais a levé en mars un moratoire sur l'exécution de la peine de mort qui était en vigueur depuis 2003, disant cibler notamment les militaires accusés de trahison, dans un contexte de rébellion armée soutenue par le Rwanda dans l'est du pays.

Le verdict a été rendu le 12 septembre 2024.La peine de mort est encore appliquée en RDC, bien que les exécutions aient été suspendues depuis 2003. Les condamnés ont la possibilité de faire appel du jugement. Leurs avocats ont dénoncé des irrégularités dans la procédure et annoncé leur intention de faire appel.Cet épisode intervient dans un contexte de tensions politiques en RDC, où le président Félix Tshisekedi fait face à l'opposition de l'ancien président Joseph Kabila. La tentative de coup d'État avait été dénoncée par le gouvernement comme une "attaque contre la République."

Dans Sécurité
Migrants morts au large du Sénégal

Une nouvelle tragédie : Le Sénégal pleure 39 morts dans un naufrage de migrants

Le vendredi, 13 septembre 2024

Sénégal - Le bilan tragique du périlleux voyage à travers l'Atlantique continue de s'alourdir, avec 39 décès confirmés - The confirmed death toll in a migrant shipwreck off the coast of Senegal has reached 39.

 

Dans Sécurité
Tuerie à l'occidentale dans une école kinoise

Drame à l'école : Un élève mortellement poignardé par un camarade

Le vendredi, 13 septembre 2024

RDC, 12 septembre 2024. - Un élève a été tué par un camarade de classe mercredi à l'École Madame de Sévigné à Limete, Kinshasa, provoquant une vive émotion dans la communauté. Selon des témoignages, l'agresseur, Ali, âgé de 14 ans, aurait agi par vengeance après avoir été moqué en raison de la couleur de sa peau.

Les faits se sont déroulés à 12h, lors de la sortie des classes. Ali a attaqué Ryan, 12 ans, en lui portant deux coups de bistouri, l'un à la poitrine et l'autre au dos, causant sa chute immédiate. Antoinette, la grand-mère de Ryan, a rapporté les événements tels qu'expliqués par le directeur de l'école, qui était à l'extérieur au moment de l'incident. Elle a cité les paroles d'Ali : « Vous blaguez trop avec moi. Celui qui osera aujourd’hui mourra ».

Un autre élève, qui a tenté d'intervenir, a également été blessé et se trouve actuellement à l'hôpital Saint Joseph.

Malgré cette tragédie, l'école a continué ses activités le lendemain, ce qui a indigné l'oncle de Ryan. Il a exprimé son indignation face à ce qu'il considère comme un message inacceptable envoyé aux autres élèves.

Le procès du présumé meurtrier de Ryan débutera ce vendredi au tribunal pour enfants de Limete, tandis que l'autre victime reçoit des soins d'urgence à l'hôpital.

| INFORMATIONS ENVIRONNEMENTALES

Le samedi, 20 juillet 2024

Sécurité alimentaire, élevage des poules pondeuses et coopérative de savon : concertations entre le CIFOR-ICRAF et ses partenaires

Kisangani, Faculté des Sciences de l’UNIKIS, 18 juillet 2024. — Les sujets abordés, à savoir l'élevage de poules pondeuses, la création d'une coopérative de savon et la sécurité alimentaire, ont été exposés à un groupe de spécialistes issus de divers domaines : presse environnementale, agriculture, pêche et élevage, aquaculture, agroforesterie, fabrication de savon, nutrition, épidémiologie et médecine vétérinaire.

Dans son discours de bienvenue, Fai Collins, responsable de sensibilisation au CIFOR-ICRAF, a encouragé les participants à formuler toutes les critiques nécessaires pour améliorer le travail de son organisation dans le paysage de Yangambi. Traditionnellement, l'atelier commence par une allocution de bienvenue suivie d'une présentation du contexte et des filières d'activités inscrites à l'ordre du jour.

 « Les activités présentées font partie d'un plan établi par le CIFOR-ICRAF pour lutter contre la déforestation et la dégradation forestière dans le paysage de Yangambi. Pour illustrer notre propos, voici les cartes montrant l'évolution du paysage : verdoyant en 2000, légèrement jauni en 2010 et presque entièrement jaune en 2021. » — Fai Collins, responsable de sensibilisation à CIFOR-ICRAF.

Le jeudi, 11 juillet 2024

Le CIFOR-ICRAF ne mène jamais ses actions de manière isolée, mais en étroite collaboration avec l’Etat congolais (F. Collins, CIFOR) 

Kisangani, 11 juillet 2024 - Le CIFOR-ICRAF a récemment tenu un atelier de concertation captivant dans le but d'informer les participants de ses initiatives agroforestières et de leurs bénéfices pour les agriculteurs locaux. Cet événement, axé sur la transmission d'informations, les échanges et le partage d'expériences, a réuni un groupe diversifié de participants, incluant des agriculteurs, des membres de la communauté locale et des représentants gouvernementaux. Parmi eux le professeur Benoît Dhed’a, spécialiste de la multiplication des bananiers plantains en laboratoire, Ingénieur Kinzonzoli Tembo, président du Conseil d’Administration d’APILAF, le délégué du ministre provincial de l’agriculture et développement durable ainsi que les délégués de la Division et Inspection provinciales de l’Agriculture...

Le vendredi, 05 juillet 2024

BRAZZAVILLE - Nous saluons la Première Conférence Internationale sur la Reforestation et le Reboisement (N. Moulombi, pdt ROSCEVAC)

La Première Conférence Internationale sur la Reforestation et le Reboisement se tient à Brazzaville, Congo, du 2 au 5 juillet 2024. Parmi les participants, Nicaise Moulombi, Président Exécutif du ROSCEVAC et membre du Comité d'orientation de l'Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD), joue un rôle clé dans cet événement dédié à la protection de l'environnement.

| SECURITE 

Migrants morts au large du Sénégal

Une nouvelle tragédie : Le Sénégal pleure 39 morts dans un naufrage de migrants

Sénégal - Le bilan tragique du périlleux voyage à travers l'Atlantique continue de s'alourdir, avec 39 décès confirmés - The confirmed death toll in a migrant shipwreck off the coast of Senegal has reached 39.

 

Le vendredi, 13 septembre 2024

Tuerie à l'occidentale dans une école kinoise

Drame à l'école : Un élève mortellement poignardé par un camarade

RDC, 12 septembre 2024. - Un élève a été tué par un camarade de classe mercredi à l'École Madame de Sévigné à Limete, Kinshasa, provoquant une vive émotion dans la communauté. Selon des témoignages, l'agresseur, Ali, âgé de 14 ans, aurait agi par vengeance après avoir été moqué en raison de la couleur de sa peau.

Les faits se sont déroulés à 12h, lors de la sortie des classes. Ali a attaqué Ryan, 12 ans, en lui portant deux coups de bistouri, l'un à la poitrine et l'autre au dos, causant sa chute immédiate. Antoinette, la grand-mère de Ryan, a rapporté les événements tels qu'expliqués par le directeur de l'école, qui était à l'extérieur au moment de l'incident. Elle a cité les paroles d'Ali : « Vous blaguez trop avec moi. Celui qui osera aujourd’hui mourra ».

Un autre élève, qui a tenté d'intervenir, a également été blessé et se trouve actuellement à l'hôpital Saint Joseph.

Malgré cette tragédie, l'école a continué ses activités le lendemain, ce qui a indigné l'oncle de Ryan. Il a exprimé son indignation face à ce qu'il considère comme un message inacceptable envoyé aux autres élèves.

Le procès du présumé meurtrier de Ryan débutera ce vendredi au tribunal pour enfants de Limete, tandis que l'autre victime reçoit des soins d'urgence à l'hôpital.

Le vendredi, 13 septembre 2024

Nord-Kivu : un enfant tué, deux autres blessés.

RDC. Enfant tué, deux autres blessés : L'ombre des conflits armés sur l'avenir des enfants

Kinshasa, 13 septembre 2024. – L'UNICEF exprime sa profonde tristesse et sa révolte face au meurtre d'un élève et aux blessures de deux autres lors d'une attaque à l’Institut Mugara, situé dans le territoire de Nyiragongo, dans la province du Nord-Kivu.

Cet incident tragique met en lumière l'urgence de protéger les enfants et les établissements scolaires dans les zones en conflit. Le Ministère de l'Éducation Nationale et Nouvelle Citoyenneté a confirmé la mort de l'élève et une enquête a été ouverte.

« Le meurtre d’un enfant et les attaques sur les écoles représentent des violations graves des droits des enfants dans les situations de conflit armé », a déclaré le Dr Mariame Sylla, représentante adjointe de l'UNICEF en RDC. « Les écoles doivent être des refuges de paix, pas des zones de conflit. Nous demandons l’arrêt immédiat de toutes les agressions contre les écoles et la protection de tous les enfants. »

Cet incident intervient alors que la rentrée scolaire vient de commencer, quelques jours après la Journée internationale pour la protection de l'éducation contre les attaques, soulignant la crise continue que traverse le système éducatif en RDC. Des milliers d'enfants perdent leur droit à l'éducation à cause des destructions d'écoles et de leur usage à des fins militaires.

L'UNICEF exige de toutes les parties impliquées dans le conflit qu'elles :

Mettre fin à toutes les attaques contre les écoles et les institutions éducatives.

Assurer un accès sécurisé à l'éducation pour tous les enfants.

Veiller à ce que les responsables des attaques sur les écoles soient tenus responsables.

Cesser de viser l'éducation, notamment en mettant fin aux menaces et aux agressions contre les élèves et les enseignants, ainsi qu’à l’occupation des établissements scolaires à des fins militaires.

Les conséquences à long terme de ces attaques sont dévastatrices. Les meurtres d’enfants et d’enseignants, ainsi que la destruction des infrastructures éducatives, créent une génération privée d'opportunités, ce qui freine le développement du pays. Les enfants touchés par les conflits armés risquent davantage d'abandonner l'école, d'être exploités, recrutés par des groupes armés ou contraints à des mariages précoces.

En 2016, la RDC a signé la Déclaration sur la sécurité dans les écoles, s'engageant à promouvoir et protéger le droit à l'éducation en temps de conflit armé. La RDC est l'un des 186 pays à avoir ratifié cette déclaration.

Il est à noter qu'on estime qu'au cours de l'année dernière, selon le Rapport annuel du Secrétaire général des Nations Unies sur les enfants et les conflits armés, plus de 400 enfants ont été tués suite à des attaques sur des écoles, et plus de 40 établissements ont été directement ciblés durant les conflits dans l'est du pays.

L'UNICEF réaffirme son engagement à collaborer avec le gouvernement, la société civile et les partenaires internationaux pour garantir un environnement sûr et protecteur pour tous les enfants en RDC.

Le vendredi, 13 septembre 2024

Prison de Bunia : Evasion étouffée dans l'oeuf

Prison de Bunia : "Prison Break" étouffée dans l'œuf

La prison centrale de Bunia en République démocratique du Congo a été le théâtre d’une tentative d’évasion le 7 septembre 2024. Les détenus ont escaladé les murs et ont jeté des projectiles pour exprimer leur mécontentement, mais l’armée a rapidement réagi et a repris le contrôle de la situation. L’armée affirme que la tentative d’évasion était manipulée et n’était pas liée aux conditions de détention, qui sont jugées bonnes. La prison de Bunia est actuellement surpeuplée, avec plus de 2 000 détenus pour une capacité de 500.

Suite à la tentative d'évasion à la prison centrale de Bunia, l'armée a réagi en déployant des mesures de sécurité renforcées. Le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole des opérations militaires dans la province, a déclaré que la situation était maîtrisée et que toutes les unités étaient en état d'alerte. Le commandant des opérations, le général Luboya Nkashama, a ordonné à la police, aux militaires de la 32e région militaire et à la police militaire d’empêcher toute tentative d’évasion. Des mesures strictes ont été prises, notamment la fermeture de la route reliant Capa à Ma Campagne, afin de bloquer toute tentative d’évasion. Le lieutenant Ngongo a également mis en garde ceux qui cherchent à déstabiliser la province, affirmant qu'ils tomberaient dans le filet des forces de l'ordre et seraient neutralisés. L'armée a également dénoncé la manipulation de certains détenus, affirmant qu'ils tentaient de reproduire le scénario de l'évasion de la prison centrale de Makala. Des militaires et policiers ont été dépêchés pour assurer la sécurité de la prison.

Le lundi, 09 septembre 2024

| VIE ET SOCIETE

| ARTS ET CULTURE/PEOPLE

Dans ArC/People
Le milliardaire Nick se suicide

Le milliardaire nigérian N. Imudia se suicide en se jetant du haut de l’étage.

Le samedi, 29 juin 2024

Le milliardaire nigéran Nick Imudia, ancien directeur général de Konga, l’un des leaders du commerce électronique au Nigeria, est décédé tragiquement mardi soir 25 juin 2024. Selon les rapports, Imudia se serait suicidé en sautant du balcon de son appartement à Lekki, dans l’État de Lagos.

 

Dans ArC/People
Belges d'origine congolaise élus au parlement bruxellois

Des Belges d'origine rd congolaise sont élus à la Chambre des représentants et au parlement bruxellois

Le mardi, 11 juin 2024

Bruxelles, 10 juin 2024. - Lors des élections fédérales et régionales du 9 juin en Belgique, quatre candidats d'origine congolaise ont été élus députés parmi une centaine de participants. Pierre Kompany (Les Engagés, 7 872 voix) et Lydia Mutyebele (PS, 7 871 voix) ont gagné des sièges à la Chambre des représentants, tandis que Gladys Kazadi (Les Engagés, 3871 voix) et Bertin Mampaka (MR, 2637 voix) ont été élus au parlement bruxellois.

Dans ArC/People
USA: D'origine sud-africaine, la chanteuse Doja Cat cartonne

La chanteuse américaine d’origine sud-africaine, Doja Cat, cartonne aux USA

Le lundi, 10 juin 2024

Doja Cat est une chanteuse, rappeuse et compositrice américaine qui a connu un succès important dans l'industrie musicale ces dernières années. Sa musique mélange différents genres tels que le R&B, le hip-hop, la pop et l'électro, ce qui lui a permis de se démarquer et d'attirer un large public.

Dans ArC/People
Peter et Paul Okoye se chamaillent encore

Encore une fois, le P-Square au bord de la rupture

Le lundi, 10 juin 2024

Le groupe nigérian P-Square est une fois de plus au bord de la rupture, suite à des tensions internes. Un scandale financier impliquant des millions détournés par l'un des membres du groupe en collusion avec leur frère Jude remet en question la possibilité pour le duo de continuer à travailler ensemble.

Dans ArC/People
Sœur Brigitte Anibiloni, don béni de Dieu.

Sœur Brigitte Anibiloni Sungufue, la fille d’Isiro-Niangara devenue religieuse et professeure d’université

Le lundi, 29 avril 2024

 « La vie est faite d’embûches. Il faut de la volonté, l’écoute et l’humilité pour devoir apprendre de ceux qui sont plus forts que soi. »

En réponse à qui veut savoir, c’est ainsi que la sœur religieuse Brigitte Anibiloni Sungufue évoque sa vie, de très jeune fille du Diocèse d’Isiro-Niangara au statut de professeure d’Université.

Dans ArC/People
Judith Tuluka, Première ministre de la RDC

Une première en RDC, la 1ère ministre s’appelle Judith Tuluka

Le mardi, 02 avril 2024

Le président a fait son choix sur la ministre du plan du gouvernement sortant. Alors que les rumeurs donnaient le gouvernement dans les six mois prochains, Félix Tshisekedi vient de surprendre par cette nomination inattendue.

Des ballons d’essais avaient été lancés sur les réseaux pour tester la réaction du public. Très peu de commentaires ou pas du tout ne présageaient l’arrivée d’une femme à la tête du gouvernement.

 
 
 
 
 

Date de dernière mise à jour : dimanche, 11 août 2024