Le président Kényan, William Ruto, a indiqué à des journalistes : « Nous (NDLR Kenya) n'arrêtons pas des gens qui ont fait une déclaration, nous arrêtons des criminels ». En revanche, le Kenya a annoncé, entamer une enquête pour "déterminer l'identité des auteurs du communiqué et dans quelle mesure leurs déclarations se situent hors du domaine de la liberté d'expression garantie constitutionnellement".