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Simone Biles, l'incroyable gymnaste américaine, a une histoire familiale marquée par des épreuves et des rebondissements. Récemment médaillée d’argent au sol aux Jeux Olympiques de Paris 2024, son parcours est intimement lié à celui de sa mère, Shanon Biles, dont elle espère renouer les liens après des années de séparation.

Face à la montée des prix des biens de première nécessité, le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) a mis en place une série de mesures pour alléger les charges sur les importations. L'objectif : rendre les produits essentiels plus abordables pour les ménages congolais.

Le Mouvement de la libération du Congo (MLC), dirigé par Jean-Pierre Bemba, a décidé de remplacer la candidature de son sénateur Jean Bamanisa pour le poste de rapporteur de la Chambre haute du parlement (Sénat) par celle de la sénatrice Françoise Bemba.

Dans un communiqué publié ce dimanche, le MLC a expliqué que le choix de Françoise Bemba répond à une exigence de respect du genre imposée par le présidium de l'Union sacrée.

« Il est devenu impératif de respecter la parité au vu des candidatures retenues. Le présidium a donc pris la décision d’en tenir compte pour les postes de rapporteur et de questeur adjoint. De ce fait, étant la seule femme élue sénatrice sous les couleurs du MLC dans tout le pays, l'honorable Françoise Bemba Ndokwa a été désignée d'office par le présidium pour briguer le poste de rapporteur, qui revient au MLC », peut-on lire dans ce document.

Depuis son remplacement, Jean Bamanisa ne s'est pas encore exprimé.

Il convient de noter que, selon la liste révisée par le Sénat, la position de rapporteur est également convoitée par les sénateurs Justin Kalumba, Ivan Kazadi et Nefertiti Ngudinza.

Les membres du Bureau définitif de la Chambre haute du parlement seront élus et installés ce lundi 12 août, après la présentation des messages de campagne des candidats retenus.

Le ministre de la Justice de la République démocratique du Congo, Constant Mutamba, continue de prouver son engagement envers une réforme pénitentiaire véritablement humaine et respectueuse des droits fondamentaux. Dans un geste symbolique et concret, il a supervisé la libération de 527 détenus de la prison centrale de Makala, à Kinshasa, le samedi dernier. Cette libération s'inscrit dans un effort continu de désengorgement des prisons du pays, une réponse nécessaire à un problème de surpopulation carcérale qui persiste depuis des décennies.

Makala, une prison construite en 1957 pour accueillir 1 500 détenus, abrite aujourd'hui près de 15 000 prisonniers. Ce chiffre alarmant témoigne des conditions de vie inhumaines qui y règnent. Face à cette situation critique, Constant Mutamba ne s'est pas contenté de simples paroles. Il a pris des mesures concrètes pour améliorer le quotidien des détenus, en commandant et en distribuant un premier lot de 3 000 matelas sur les 7 000 prévus. Ce geste vise à alléger les souffrances des prisonniers et à leur offrir des conditions de détention plus dignes.

La scène politique congolaise connaît des ajustements notables alors que le bureau provisoire du Sénat revoit les candidatures de l'Union sacrée de la nation pour le bureau définitif de la Chambre haute. Le Mouvement de Libération du Congo (MLC) modifie sa représentation, tandis que l'Union sacrée confirme ses positions, avec quelques tensions internes.

L’Université de Kindu, au cœur des dynamiques communautaires, se dote d’une vision audacieuse pour devenir un vecteur de cohésion sociale et de développement durable. À travers une gouvernance portée par des valeurs de bonne gouvernance et de gestion collégiale, elle s'impose comme un acteur clé dans la promotion de la paix.

Kinshasa, 7 août 2024 - À l'ouverture des assises entre la Cour pénale internationale (CPI) et les autorités congolaises à Kinshasa, le ministre de la Justice de la République démocratique du Congo a sollicité l'émission d'un mandat d'arrêt à l'encontre du président rwandais, Paul Kagame, en raison des crimes graves commis dans l'Est du pays.

« Quand sera-t-il délivré un mandat d'arrêt contre Paul Kagame pour les crimes contre l'humanité perpétrés dans l'Est de notre territoire ? » a interrogé Constant Mutamba lors de cette première journée de discussions impliquant des experts de la CPI, de la Commission nationale des droits de l'homme (CNDH) et des magistrats congolais.

Le ministre Mutamba a exprimé l'impatience du peuple congolais face à des discours ne menant à aucune action concrète. « Pendant que nous parlons, des Congolais continuent à perdre la vie, des enfants sont tués et des femmes subissent des violences. Quand donc la CPI interviendra-t-elle pour arrêter Kagame ? » a-t-il insisté, dénonçant également les complices de Kigali qui participent aux atrocités répétées visant la population congolaise.

Le mariage est souvent perçu comme une étape clé dans la vie de nombreuses personnes, marquant le début d'une union qui, idéalement, dure pour toujours. Cependant, maintenir l'harmonie au sein du couple tout au long de la vie conjugale peut s'avérer être un défi complexe. L'harmonie dans le mariage n'est pas seulement l'absence de conflits, mais une symbiose émotionnelle et mentale où les deux partenaires se sentent compris, soutenus et aimés. Cet équilibre délicat est le résultat d'efforts constants et d'une communication ouverte.

Dans cet article, nous explorerons en profondeur les fondements d'une relation harmonieuse et discuterons des principales causes de mésentente et de divorce. Nous chercherons à fournir des conseils pratiques pour aider les couples à surmonter les défis courants et à construire une relation solide et durable. Le mariage, comme toute relation, nécessite un investissement personnel, de la patience, et une volonté mutuelle de grandir ensemble. En comprenant les facteurs qui contribuent à la désunion, les couples peuvent mieux se préparer à les surmonter et à renforcer leur union.