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Dans ArC/People
Réseaux sociaux : Près des yeux, loin du coeur

Réseaux sociaux : Près des yeux, loin du cœur

Le vendredi, 06 septembre 2024

À l'ère numérique, les réseaux sociaux sont devenus des compagnons omniprésents de notre quotidien, influençant non seulement nos interactions sociales, mais aussi la dynamique de nos relations amoureuses. Bien que ces plateformes nous rapprochent virtuellement, elles peuvent également créer une distance émotionnelle au sein des couples. Cet article explore comment l'expression "près des yeux, loin du cœur" s'applique aux relations amoureuses dans un monde où les écrans prennent souvent le pas sur les échanges authentiques.

Saviez-vous que plus de 90 % des Canadiens de 15 à 34 ans se connectent à un réseau social chaque jour ? À l'échelle mondiale, les utilisateurs passent en moyenne 2 heures et 28 minutes par jour sur ces plateformes. Ces chiffres révèlent un paradoxe : alors que nous sommes physiquement proches de nos partenaires, nous pouvons nous retrouver émotionnellement éloignés. Prenons l'exemple de Clara et Julien, un couple de jeunes professionnels. Bien qu'ils partagent un appartement, leurs soirées sont souvent passées à faire défiler Instagram ou à discuter sur WhatsApp, laissant peu de place aux véritables échanges. Cette situation illustre parfaitement l'idée que, malgré la proximité physique, ils sont "près des yeux, loin du cœur".

Mpox  : La RDC reçoit son 1er lot de vaccins

Vaccins contre le Mpox : la RDC reçoit le premier lot (Fr, An, Sw)

Le vendredi, 06 septembre 2024

La République Démocratique du Congo (RDC) se distingue par sa riposte organisée et déterminée face à l'épidémie de mpox, marquant un tournant décisif dans la lutte contre cette maladie. Grâce à l'arrivée de 99 100 doses du vaccin JYNNEOS, fournies par le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies et l'Union Européenne, le pays s'engage dans une campagne de vaccination ambitieuse. Cette initiative vise à contenir la propagation d'une maladie qui a déjà causé des milliers de cas et de décès, touchant particulièrement les enfants. La RDC met en place des plans de distribution rigoureux, ciblant d'abord les personnes infectées et les groupes vulnérables, tout en surmontant des défis logistiques considérables. Cette mobilisation témoigne de la résilience et de la solidarité du pays, déterminé à protéger sa population et à restaurer la santé publique face à cette crise sanitaire.

PCN replante la region d'Isangi

Initiative PCN-ONGD : La reforestation prend racine à Isangi, RDC

Le mardi, 03 septembre 2024

YABAONDO, RDC - Une initiative de reforestation visant à protéger la biodiversité et à promouvoir le développement durable a pris racine dans le territoire d'Isangi, en République Démocratique du Congo. Le programme, dirigé par l'organisation "Éducation pour la Protection et la Conservation de la Nature" (PCN), a organisé une campagne de sensibilisation le 26 août, axée sur l'importance de planter des arbres qui abritent des espèces de chenilles.

L'événement, qui s'est tenu à l'Université de Yabaondo, a rassemblé des responsables locaux, y compris l'Administrateur Territorial, M. Toussaint Lokolokeke, le Chef du Secteur, Denis Gelengi, et des leaders traditionnels des villages environnants. La réunion a discuté de l'urgence de relever les défis suivants :
• Perte des arbres hôtes des chenilles : Le déclin des arbres hôtes met en péril l'écosystème local et impacte les communautés qui dépendent des chenilles comme source de nourriture.
• Perte de biodiversité : La déforestation nuit à la biodiversité de la région, affectant l'équilibre délicat de la nature.
• Menace pour les tourbières : L'expansion de la culture du riz représente une menace sérieuse pour les précieuses tourbières, qui jouent un rôle crucial dans la séquestration du carbone et la régulation de l'eau.

Un accent particulier de la campagne a été mis sur le village de Yawenga, où l'Administrateur du village de Yawenga, après avoir visité la pépinière d'arbres, a planté un arbre pour servir d'exemple à la communauté locale. Cet acte symbolique visait à inspirer la communauté à adopter des pratiques durables et à contribuer à l'effort global de reforestation.

Les participants ont souligné l'importance de trouver des solutions durables pour les générations futures. Le programme prévoit de distribuer des semis de diverses espèces d'arbres, y compris Ricinodendron heudelotii, Pterocarpus, Macrandra, Cylindrophragma, Entandrophragma et Erythrophlaeum suaveolens, aux personnes prêtes à donner des terres pour la reforestation.

L'initiative PCN vise à s'étendre au-delà de la zone de Bambelota, atteignant d'autres communautés à travers le territoire d'Isangi et l'ensemble de la province de Tshopo. Ce projet ambitieux reflète un engagement à protéger l'environnement et à promouvoir le développement durable pour les générations futures, avec le village de Yawenga servant de modèle pour le reste de la région.

Conduit par Joseph Loingo, son coordonnateur, le programme PCN recherche activement le soutien d'individus et d'organisations partageant leur vision d'un avenir plus vert et plus sain pour la RDC.

Dans Sécurité
Le Niger et le Mali compatissent avec le Burkina

Attentat terroriste à Barsalghio : Le mali et le Niger envoient des émissaires pour compatir avec peuple burkinabé (Fr, An, Sw)

Le mardi, 03 septembre 2024

Ouagadougou, 2 septembre 2024. - Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a reçu, ce lundi matin en audience, des émissaires du Président du Niger, le Général Abdourahmane TIANI, et de son homologue du Mali, le Colonel Assimi GOITA, Président en exercice de la Confédération « Alliance des États du Sahel ».

Conduite par le ministre d’État, Ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation du Mali, le Colonel Abdoulaye MAIGA, la délégation, comprenant également le ministre de l’Intérieur du Niger, le Général Mohamed TOUMBA, a traduit la compassion et la solidarité des présidents de l’AES et de leurs peuples respectifs au Président du Faso et au peuple burkinabé à la suite de l’attaque terroriste survenue le 24 août 2024 à Barsalghio.

« Nous avons appris avec une grande tristesse et affliction les événements malheureux, l’attaque terroriste lâche ayant visé des populations paisibles de Barsalghio. Il n’y a pas que le Burkina qui est éploré, c’est toute la Confédération Alliance des États du Sahel qui est endeuillée », a déclaré le ministre d’État en charge de l’Administration territoriale du Mali, porte-parole de la délégation, le Colonel Abdoulaye MAIGA.

Il a également rappelé la détermination des trois Chefs d’État de l’AES à lutter pour l’éradication du terrorisme dans l’espace. « Tout ce qui est fait comme effort va dans ce sens. L’éradication totale du terrorisme dans l’espace AES est un objectif qui sera atteint grâce au leadership de nos Chefs d’État », a-t-il indiqué.

Selon le ministre Abdoulaye MAIGA, la pression militaire engrange des résultats sur le terrain. « Les groupes terroristes évitent de plus en plus les cibles militaires pour s’attaquer à des populations paisibles. L’objectif est clair, c’est d’atteindre le moral de nos populations. Cet objectif ne sera jamais atteint », a rappelé le ministre malien.

Il est convaincu que les attaques contre les populations civiles ne pourront pas entamer le moral et la détermination des Chefs d’États à atteindre tous les objectifs qu’ils se sont assignés en mettant en place la Confédération « Alliance des États du Sahel ».

Dans ArC/People
Constant Mutamba intronisé dans le Grand Kasaï

Grand Kasaï : Constant Mutamba intrônisé tel un chef coutumier à Lubao (Fr, En, Sw)

Le mardi, 03 septembre 2024

Territoire de Lubao, 2 septembre 2024. - Constant Mutamba a été intronisé chef traditionnel à Lubao, un événement marquant pour la communauté songye et un symbole fort de la continuité des traditions culturelles dans la région. Cette cérémonie souligne l'importance du leadership et des valeurs communautaires.

Il est probable que l'intronisation ait inclus divers rituels traditionnels, tels que des danses et des chants, qui ont célébré la culture locale et l'entrée du nouveau chef coutumier dans ses fonctions. De plus, des discours ont été prononcés, permettant aux intervenants de souligner les responsabilités et les valeurs qui incombent à Mutamba, tout en mettant en avant l'importance de son rôle pour la communauté.

En outre, l'intronisation de Constant Mutamba peut avoir plusieurs implications. D'une part, elle contribue au renforcement de l'identité culturelle, rappelant aux habitants l'importance de leurs traditions et de leur histoire. D'autre part, Mutamba, en tant que chef coutumier, pourrait jouer un rôle clé dans la médiation des conflits et la promotion du développement local. Par ailleurs, son statut pourrait faciliter la mobilisation des ressources et le soutien à des initiatives locales.

Enfin, Lubao est riche en traditions et en coutumes, où le leadership joue un rôle central dans la vie quotidienne. Ainsi, les cérémonies comme l'intronisation sont essentielles pour maintenir les liens sociaux et renforcer la cohésion communautaire.

Dans Sécurité
EU. Tentation d'agression sur Trump

Élection américaine : Nouvelle peur d'assassinat pour Trump : un homme touché par un taser ; panique lors du Rassemblement (Fr, En, Sw)

Le mardi, 03 septembre 2024

Lors du rassemblement de Donald Trump à Johnstown, en Pennsylvanie, un homme a chargé dans la zone de presse pendant que l'ancien président prenait la parole vendredi, provoquant une scène chaotique. L'intrus a sauté par-dessus une barrière à vélos et a commencé à grimper sur la plateforme de presse près de Trump. Les agents des forces de l'ordre, y compris la police et les adjoints du shérif, ont rapidement entouré l'individu et l'ont maîtrisé à l'aide d'un Taser.

Trump a ensuite critiqué les grandes organisations médiatiques pour ce qu'il a qualifié de couverture biaisée, se moquant particulièrement de CNN pour son interview avec lui. Cet incident survient peu après une récente tentative d'assassinat contre Trump, où une balle a frôlé son oreille à Butler, en Pennsylvanie.

Dans Sécurité
Evasion ratée de Makala, un sabotage (C. Mutamba)

RDC. Evasion ratée de Makala : les reactions fusent, C. Mutamba parle de sabotage

Le mardi, 03 septembre 2024

Une tentative d'évasion à la prison centrale de Makala a suscité un torrent de réactions sur les réseaux sociaux. On observe une panoplie de sentiments : colère, indignation, incompréhension, mais aussi un sentiment de solidarité avec les victimes. L'émotion est palpable, les internautes se demandent si l'évasion était réellement le but ultime de cette tentative et quels sont les enjeux politiques qui se cachent derrière cet événement.

Tout d'abord, il est essentiel de souligner qu'une tentative d'évasion a été déjouée dans la nuit du 1er au 2 septembre à la prison centrale de Makala, à Kinshasa. Cet événement tragique a conduit à la mort de plusieurs personnes. Alors que le gouvernement central parle de deux morts, les internautes, quant à eux, évoquent un nombre plus élevé, alimentant ainsi un débat houleux sur la véracité des informations officielles.

Par ailleurs, le camp de Jean-Marc Kabund n'a pas tardé à réagir en accusant "le régime en place" d'avoir orchestré cette opération pour éliminer leur leader. Selon les partisans de Kabund, l'évasion avait pour but de décimer "les centaines de vies en tentant une énième fois d'éliminer le Président Jean-Marc Kabund". Ce point de vue met en lumière les "anomalies" et les dysfonctionnements qu'ils attribuent au système en place.

Face à ces accusations, le ministre de la Justice, Constant Mutamba, a pris la parole pour dénoncer ce qu'il qualifie d'acte de sabotage. Dans la foulée, il a annoncé des mesures strictes, notamment l'interdiction du transfert de détenus au Centre Pénitentiaire de Kinshasa (CPK) et la délocalisation des prisons de Makala vers un nouveau lieu à l'extérieur de Kinshasa.

Dans ce contexte tendu, les réactions du peuple ne se sont pas fait attendre. Les internautes se montrent divisés : certains accusent Kabund de vouloir "faire le moucharde" et de profiter de la situation pour déstabiliser le pays, tandis que d'autres le soutiennent fermement, dénonçant la violence du régime en place.

En conclusion, le débat reste ouvert, et les opinions divergent. L'enquête est en cours, et la tentative d'évasion à Makala soulève des questions cruciales sur le système carcéral en RDC, les conditions de vie des détenus, la sécurité des prisons, ainsi que l'influence politique sur le système judiciaire. La situation à Kinshasa demeure tendue, et les réactions du peuple continuent d'alimenter ce climat de crise.

 

Dans Sécurité
RDC. Evasion ratée à Makala : Morts et blessés

Tentative d'évasion sanglante à la prison de Makala : 129 morts et plusieurs blesses (Gouvernement)

Le lundi, 02 septembre 2024

Dans la nuit du 1er au 2 septembre 2024, une tentative d'évasion à la prison centrale de Makala à Kinshasa, en République démocratique du Congo, a tourné au drame. Deux détenus ont perdu la vie, plusieurs autres ont été blessés, et des dégâts matériels importants ont été enregistrés.

La nuit du 1er au 2 septembre 2024 a été marquée par une tentative d'évasion à la prison de Makala, l'une des plus grandes et des plus surpeuplées de Kinshasa. L'incident a débuté dans les pavillons 3 et 4, où sont enfermés des membres des gangs locaux appelés « Kuluna ». Les détenus, cherchant désespérément à s'échapper, ont tenté d'escalader les murs de l'établissement. Cependant, les militaires en poste ont réagi en ouvrant le feu, provoquant la mort de deux prisonniers et en blessant plusieurs autres.

Le ministre de la Justice, Constant Mutamba, a rapidement réagi en qualifiant cet acte de "sabotage prémédité" et a annoncé l'ouverture d'une enquête pour faire toute la lumière sur cet événement tragique. En attendant les résultats de l'enquête, il a suspendu les transferts de détenus vers Makala et a demandé l'accélération des mesures de désengorgement des prisons du pays.

Ce n'est pas la première fois que la prison de Makala est le théâtre d'une évasion spectaculaire. En 2017, une attaque menée par des miliciens de Bundu dia Kongo avait permis à plus de 4 000 détenus de s'évader. Cet événement avait déjà mis en lumière les graves problèmes de surpopulation et de sécurité au sein de l'établissement.

Depuis, la situation n'a fait que se détériorer. Makala, construite pour accueillir 1 500 prisonniers, en héberge aujourd'hui entre 14 000 et 15 000, créant des conditions de détention inhumaines. Les tentatives d'évasion, bien que moins médiatisées, se sont multipliées ces dernières années, mettant à rude épreuve les capacités des autorités à maintenir l'ordre.

Cette nouvelle tentative d'évasion à Makala met une fois de plus en lumière les dysfonctionnements du système carcéral en République démocratique du Congo. Alors que l'enquête suit son cours, les autorités devront se pencher sérieusement sur les causes profondes de ces événements, notamment la surpopulation et les conditions de détention, pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.